Nombre de présents : 29    Excusés : 7    Président de séance : Gilbert Duhamel

Secrétaire de séance : Nicole Pham

 Documents distribués aux participants :

1)      Compte de résultat, bilan 2011 et budget 2012.

2)      Projet de programmation 2012-2013 .

3)      Statistique des présences  aux cours et conférences  pour la saison 2011/2012.

 4)      Compte-rendu des deuxièmes rencontres d’Histoire Critique à Gennevilliers « Etre d’ici et d’ailleurs » les 25 et 26novembre 2011.

5)      Projet « La puissance du Peuple » dans le cadre de Rencontres de Gennevilliers, les 30 novembre  et 1er décembre 2012.

6)      Liste de lieux de distribution établie par la commission Communication.

7)      Statistique des présences  aux cours et conférences  pour la saison 2011/2012.

Préambule  de Simone Leygnac

  Simone Leygnac tient à remercier tous les participants de l’UP92 pour les marques de réconfort  qu’elle a reçues à la suite de la disparition de Jean Leygnac.

  Au nom de ses amis de l’Université Populaire des Hauts de Seine, une plaque gravée d’une  phrase de Sénèque « Etudie non pour savoir plus mais pour savoir mieux » sera placée sur sa tombe.

Au nom de tous, Gérard Bras  exprime son accord avec ce choix qui correspond si bien à  Jean et rappelle l’efficacité  qui fut la sienne au sein de l’UP 92, sa discrétion et  son goût du savoir.

  1. I.            Présentation du Rapport moral pour l’année 2011-2012  par Gérard Bras, président de l’UP92 
  1. A.   (Texte intégral de Gérard Bras)

« Bilan d’activité :

Cette année s’annonçait, pour des raisons différentes, comme celle d’une baisse programmée d’activité, et d’une réflexion collective sur le devenir de l’association.

Les raisons :

1°) des difficultés financières importantes, dues pour partie à une négligence de notre part, qui a conduit à une baisse de la subvention, pour partie à des charges lourdes ; les subventions ont été rétablies pour 2012, et vont permettre de reprendre un activité plus normale, sans que nous soyons encore totalement à l’aise. Jean-Yves y reviendra dans le rapport financier et le projet de budget.

2°) Un second souffle difficile à trouver, après 8 ans d’activité.

3°) Le départ de l’antenne d’Antony qui a pris son indépendance.

Quelques chiffres pour réfléchir :

135 adhérents contre 188 l’an passé (mais 27 nouveaux adhérents) ; 14 cours (11 à Gennevilliers, 2 à Asnières, 1 à Nanterre) fréquentés en moyenne par 16 étudiants ; un cours prévu a été annulé ; un cours tenu a vu trois de ses cinq séances annulées.

Le chiffre du nombre d’adhérents, est en baisse très nette. Je disais la même chose l’an passé, mais sur la base de chiffres manifestement faux. C’est devenu une réalité cette année.

 8 conférences : 5 à Gennevilliers et 3 à Nanterre, avec une participation très variable : de 158, pour Stora à 8 pour Cotta. Les conférences données à Nanterre ont été un échec complet : maximum 15 personnes. L’activité de l’UP est noyée dans la programmation de l’Agora, ce qui explique que, faute d’activité soutenue par des adhérents, peu de monde semble intéressé. Nous proposons de ne pas renouveler les conférences à Nanterre, et de nous concentrer sur Gennevilliers pour cet aspect de notre activité. D’après mes chiffres, les autres conférences ont été suivies de 80 personnes pour Bouveresse à 2O pour Martelli.

Pour les cours, il ne faut pas en rester à la moyenne globale.

L’examen des chiffres fait apparaître :

1°) qu’ils démarrent presque tous avec un effectif qui va de 15 à 20, à trois exceptions près : Rousseau (35), regard sur le Maghreb  (7) et la musique folk (5) ;

2°) que certains (essentiellement deux) subissent un fléchissement de fréquentation.  C’est aussi le cas d’un troisième, le cours sur la philosophie de l’histoire, mais à raison de la défaillance de l’enseignant.

Troisième type d’activité : les rencontres d’histoire critique, pour lesquelles nous sommes en partenariat avec les « Cahiers d’histoire critique », qui se sont tenues cette année, en novembre, sur le thème « être d’ici et d’ailleurs ».

Deux moments : une soirée au cinéma, avec la projection d’un film de M. Trillat, et une journée d’ateliers (6 ateliers) ; à quoi il faut ajouter une lecture de contes à la bibliothèque et la venue de Lilian Thuram dans une classe de primaire le 29 mai.

Bilan des rencontres, en chiffres :

29 intervenants

111 personnes pour l’ouverture (2 débats et projection du film)

Le samedi,  26 intervenants et 15 à 20 personnes par atelier

 18 enfants à la bibliothèque pour les contes « Sagesses du monde »

La participation de Lilian Thuram aux Rencontres d’HC (Fondation Lilian Thuram contre le racisme) était annoncée dans le programme. Son agent avait refusé une conférence mais avait proposé un travail dans une classe bien préparée aux questions traitées du racisme et des discriminations. En fin de compte, Josiane Amacker a servi de relais avec une institutrice de l’école des Grésillons, adhérente de l’Up, Béatrice Péressini. Les conditions étaient strictes : maintenir l’incognito, pas de journaliste, de politique, deux personnes avaient été informées : L’institutrice et la directrice de l’école.

Il est venu le mardi 29 mai, le matin dans la classe de CM2 dans une classe de 29 élèves qui avaient beaucoup travaillé ces questions. Les élèves n’étaient pas informés  non plus mais le contact a été immédiatement chaleureux. Lilian Thuram est un excellent pédagogue et sait servir de « passeur d’idées ». Ce fut un moment exceptionnel de réflexion et il a proposé de revenir soit pour une conférence soit dans des classes. Ce peut être une première pierre pour le travail que Ginette entreprend d’un UP des enfants.

Sont mis en annexe du rapport et distribués à l’AG, le bilan des cours et conférence et le bilan des rencontres.

Enfin, nous avons repris notre activité de cours à la MAN, grâce à l’implication d’Elisabeth Staudre qui s’est chargée de cette organisation.

Deux intervenants sont allés à la maison d’arrêt :

F. Chobeaux et O. Piriou.

Chobeaux :

Deux interventions, 2 et 16 février, 14h30-16h30.

Aucun problème avec les surveillants. Une heure de fin à notre choix selon les échanges, débordant à chaque fois de l’heure annoncée (16h).

10-12 participants les 2 fois, 2 nouveaux la 2ème fois.

Deux thèmes :

– la première rencontre « La violence est-elle légitime ? »

– la seconde : « le libre arbitre » (décidé collectivement à la fin de la première).

Des participants intéressés, s’engageant dans les réflexions.

Ce type d’action est bien dans les cordes de l’IP92 : ouverture, déségrégation…

A refaire, mais de façon clairement collective, un projet sur un trimestre à 3-4, préparé et suivi ensemble, un thème large qui sera ensuite décliné, traité par chacun dans les séquences. Une après-midi toutes les 2 semaines est l’intervalle le plus grand, peut-être voir pour un rythme à la semaine. Mais c’est une question de nombre, de disponibilités.

Bilan :

Il y a moins de disparités dans la fréquentation des cours que l’an passé. Mais cette fréquentation, ainsi que le nombre de nos adhérents restent insuffisants, en regard des subventions publiques que nous percevons, et qui nous imposent de meilleurs résultats. Pire, malgré un redressement financier, dû à une augmentation des subventions publiques, nous perdons des adhérents. Nos bailleurs seraient en droit de nous demander des comptes.

Quelle est la cause de cette perte ? La forme que nous donnons à notre activité ? Elle convient à ceux qui participent à l’UP, mais peut repousser les autres. Le succès, comme l’an passé, d’une initiative de début d’année ne semble pas influer sur la fréquentation régulière de l’UP. Si l’on regarde la composition de l’UP, il est assez clair que nous ne mordons pas sur le public jeune tout cela doit nous inviter à nous rénover, à rechercher de nouvelles formes, en tout cas à ne pas nous contenter de nos habitudes, et certainement aussi à améliorer notre communication.

Il ne faut pas non plus faire du nombre d’adhérents la seule mesure de notre réussite, puisque la fréquentation des conférences et des rencontres d’histoire n’est pas soumise à l’adhésion. Il en va de même pour les cours donnés à la maison d’arrêt, pourtant importants dans notre bilan. Le succès relatif de ces initiatives est à prendre en compte positivement, sans contrebalancer suffisamment la perte d’adhérents.

Que faire pour rénover notre activité ?

Le CA qui s’est tenu en décembre sur la pédagogie que nous mettons en œuvre, a pensé qu’il fallait maintenir notre originalité qui consiste en l’organisation de cours, parce que c’est le moyen que nous avons imaginé pour proposer un approfondissement de la réflexion. C’est à la fois la raison d’être de notre association et son mode de fonctionnement.

L’UP réunit des citoyens, enseignants et enseignés qui désirent mener ensemble une réflexion critique sur un sujet donné. Nous ne sommes missionnés par personne pour défendre une ligne de pensée idéologique déterminée. Ce qui nous réunit, enseignants comme étudiants, c’est le désir de partager une réflexion ; c’est le même souci de s’exercer à la réflexion critique, et non pas celui de divulguer une vérité. C’est la raison pour laquelle je suis heureux de constater que les enseignants s’investissent plus dans la vie de l’association, en participant au CA, ou aux commissions. C’est aussi ce qui engage un certain éclectisme dans notre programmation, laquelle se fonde d’abord sur le désir des uns et des autres, désir d’enseignant de venir travailler ici, désir d’étudiants de les suivre dans leurs propositions, demandes d’étudiants de voir telle question traitée à la suite d’un cours qui l’aura évoquée. Nous ne sommes pas prestataire de service, cherchant des intervenants pour répondre à une demande, ni militant d’une cause idéologique déterminée. C’est ainsi que la programmation essaie de répondre au double désir des étudiants et des enseignants qui sont membres de l’association. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé, si l’AG le confirme, de revenir au système de rétribution, au moins partielle, de nos intervenants, afin de ne pas restreindre les possibilités, de ne pas nous limiter à ceux d’entre eux qui voudraient venir ici animés par une volonté militante.

Faut-il rénover la forme ? Comment ? La réflexion est ouverte.

Autre aspect pour mieux nous faire connaître : notre communication.

Une commission a travaillé pour y réfléchir et a fait des propositions, reprises par le CA.

La commission a réfléchi, mais les membres de la commission se sont aussi activés, notamment en procédant à des distributions multiples. Je crois que ces distributions ne doivent pas être monopolisées par les membres de la commission : ils ne seront pas jaloux si d’autres y participent, notamment les membres du futur CA. Une liste des lieux où il faut distribuer doit circuler dans l’AG, permettant à chacun de s’inscrire. Il en va de même, d’abord, de notre présence aux journées des associations, début septembre.

L’un de nos adhérents (Michel Sarrazin) a dessiné un nouveau logo qui sera systématiquement présent sur tout notre matériel de com.

Nous allons nous adresser aux enseignants du secteur, aux CE et aux étudiants.

Nous allons mettre en place au moins une action commune avec la bibliothèque municipale, en vue d’une collaboration qui nous fasse mieux connaître des lecteurs qui la fréquentent.

Nous veillons aussi à intervenir dans les média locaux et départementaux (Gen/Mag, TV dans la Tour de la mairie, journal du département etc.)

Nous devons tâcher aussi de faire de la communication ciblée en fonction de tel ou tel cours.

Chaque conférence fera l’objet d’une communication propre.

Ceci fait transition vers la 2e partie de ce rapport moral : celle qui porte sur notre activité pour la prochaine saison.  

Trois chapitres dans la programmation de l’année prochaine : 

1)     Les conférences

7 conférences sont programmées à Gennevilliers ; aucune à Nanterre, pour la raison que j’ai évoquée tout à l’heure : la réitération de l’échec.

Les sujets sont divers, peut-être insuffisamment sur l’actualité, susceptibles, je crois, d’intéresser notre public.

2)     Les cours

Nous augmentons l’ensemble du nombre de cours :

3 ou 4 cours à Nanterre ;

2 cours à Asnières ;

17 cours à Gennevilliers, dont 1 à la SNECMA et un en partenariat avec la bibliothèque municipale.

Une demi-douzaine de nouveaux intervenants qui, pour la plupart, ont souhaité, ou souhaitaient depuis un ou deux ans, intervenir à l’UP.

Soit un ensemble de 22 cours contre 14 l’an passé.

La commission programmation s’est efforcée de travailler dans l’esprit que j’ai évoqué tout à l’heure : réunir les désirs de réflexion et de travail des étudiants et des intervenants de l’association.

Le programme est distribué et mis en annexe au rapport moral.

3)     Les rencontres sur la puissance du peuple. 

L’argumentaire avec la liste des tables rondes est distribué et mis en annexe au rapport.

La commission de préparation s’est réunie depuis janvier, et la première phase, celle des invitations est quasi achevée.

Nous avons constaté la pertinence extrême du thème de ces rencontres, lors de la campagne présidentielle : l’usage, pour le moins polémique, et bien souvent confus, de la notion de peuple, ouvre un champ considérable à la réflexion critique. Il impose aussi, comme nous l’avions décidé, de faire se croiser les réflexions de différentes disciplines, mais aussi d’engager le dialogue entre théorie et pratiques politiques. C’est le sens du choix qui a été fait dès les invités contactés :  se rencontreront historiens, sociologues, philosophes, littéraires et, dans une moindre mesure, des acteurs de la vie politiques.

Dans le cours de la préparation, j’ai été amené à proposer au maire que cette initiative dépasse les limites de l’Université Populaire, ce en raison de l’état de la situation idéologique et politique, que la ville devienne l’organisateur principal de ces rencontres qui prendraient alors une audience plus large et, sans doute rencontreraient un écho régional ou national. Un accord de principe m’a été donné par le maire, pour que ce soient « les rencontres de Gennevilliers », avec pour thème « la puissance du peuple ». La condition qu’il y met, c’est que l’on n’en reste pas à un débat universitaire, que les Gennevillois soient intéressés à la chose, notamment par les personnes invitées à débattre, et par la forme des débats qui doit permettre une bonne participation des citoyens de la ville. Comme c’était dès le départ notre souci, nous sommes vite tombés d’accord sur ce principe.

Il s’agit donc d’un moment important dans notre activité à la rentrée qui doit mobiliser pas mal d’énergie. Nous avons besoin encore de bonnes volontés à la commission de préparation. Appel aux volontaires ! La prochaine réunion est prévue le 21 à 18h30.

Le futur conseil d’administration doit être renforcé, par rapport à ce qu’il est aujourd’hui. Une demi-douzaine de candidats nouveaux se sont faits connaître. Il faut sans doute que chacun des membres du CA s’investisse un peu plus, même si il y a un progrès très net sous ce chapitre, notamment en raison du bon travail des commissions. Je termine donc par un nouvel appel à candidatures : la vie de notre association est faite de l’engagement de chacun. Quelques tâches devront nécessairement être assurées par le nouveau CA, par ceux qui ne sont pas déjà engagés dans une commission. Au moins : la coordination des référents, un adjoint à la programmation pour aider Magali, le travail sur la logistique des rencontres.

La discussion est ouverte. »

  1. B.    Discussion   à partir du rapport d’activités

Propositions pour relancer  la participation à l’UP92

Cours durant  l’après-midi : Les cours qui avaient eu lieu antérieurement dans l’après-midi avaient permis de toucher un public différent et avaient réuni un large auditoire. Le cours prévu « » Quand le conte sert à penser »  pourrait être programmé en après-midi.

  Nous avons été sollicités par l’organisme de la ville de Gennevilliers « Mission handicap », qui souhaite une participation de l’association autour de la célébration des 10 ans de la charte handicap de la commune.

  Une intervention pourrait être assurée par Patrick Gatignol, professeur de philosophie, qui connaît bien la situation des handicapés moteur. Toutefois le projet est encore trop vague du côté de la mairie. Il faudrait notamment s’assurer la participation des associations d’handicapés, nombreuses sur la commune.

   Cette année, pour son  thème  « Existe-t-il des races biologiques dans l’espèce humaine ? » Christiane Silliau a fait diffuser  un petit texte de présentation  avant chacun de ses cours, par internet. Cela a été très apprécié et a plus incité certains à venir qu’une   simple présentation écrite  dans la brochure.   

    Christiane Silliau a fait transmettre le texte complet  de chacune de ses interventions.   Patrick Gatignol  a distribué le plan général du thème qu’il traitait « Philosopher aujourd’hui ? » et le plan de chacun de ces cours.

   Les étudiants ont été très satisfaits de cette démarche qui permet à chacun de retravailler les cours.

  On pourrait peut-être suggérer aux professeurs, s’ils en sont d’accord car c’est un  gros travail supplémentaire, de  donner une trace écrite de leurs cours. 

Pierrette Bras  lance un appel aux volontaires pour participer à cette commission. On a besoin de monde pour rendre l’UP92   visible quand il y a des évènements, pour distribuer des informations  dans les établissements scolaires et pour se faire connaître sur les marchés locaux.

  Marie-Claude L’Huillier rappelle que l’année a été particulièrement lourde en évènements et que les ponts n’ont pas favorisé la fréquentation régulière des cours.

A l’issu de cette discussion, le rapport moral du président Gérard Bras  est adopté à l’unanimité.

  1. II.            Présentation du projet de programmation 2011-2012 par Magali Lombard  (voir propositions jointes)

Ce projet de programmation est adopté à l’unanimité.

  1. III.            Présentation du rapport financier pour l’année 2011 par Jean –Yves Even,   trésorier de l’UP92 (voir documents joints)

2011 est marqué par une forte diminution des recettes (-10000€) due au non dépôt de deux dossiers de demande de subvention. Il a été décidé en conséquence de suspendre la rémunération des enseignants pour l’année scolaire 2011/2012, soit pendant le dernier trimestre 2011 et le premier semestre 2012. Ceci a permis de limiter le déficit d’exploitation 2011, qui s’établit néanmoins à 6000€.

L’association ne dispose plus de fonds propres. Elle a pu obtenir une autorisation provisoire de découvert de la Caisse d’Epargne, au premier trimestre 2012, pour continuer à fonctionner.

En 2012, les dossiers ont été déposés  et les subventions  rétablies. Le budget 2012 prévoit  la reprise partielle de la rémunération des enseignants, à hauteur de 3 cours sur 5, et le retour à une situation de trésorerie moins difficile, mais encore tendue.

D’une manière générale, l’UP92 est très dépendante des subventions. Les recettes sont stabilisées en 2012,  mais nous savons d’ores et déjà que la convention « emploi tremplin » avec la Région, qui joue un rôle important dans les équilibres de gestion de l’association, expire en 2013. Il sera nécessaire de trouver à cela une solution en temps utile.

  1. A.    Remarques sur le compte de résultat 2011

Une distinction a été faite entre adhésions individuelles et cotisations collectives (comptes 7561 et 7562)

Le travail des professeurs bénévoles est chiffré à hauteur des rémunérations que les enseignants auraient touchées s’ils n’avaient pas accepté de faire une année de bénévolat, en dépenses (862) et en recettes (870).

L’assemblée donne quitus au  trésorier  de l’UP92 : Le bilan financier  est donc  accepté à l’unanimité.

  1. B.     Budget 2012 (voir documents joints)

Remarques

Le budget prévisionnel est adopté à l’unanimité.

 Pour améliorer les finances de l’UP92, Ginette nous expose son début de projet de film en collaboration avec la SNECMA. Elle nous en reparlera quand le projet sera plus avancé.

  1. IV.            Election du Conseil d’Administration

Amacker Josiane, Bourdais Serge Bras Gérard, Bras Pierrette, Duhamel Gilbert Even Jean-Yves, Francequin Ginette, Fecil Maud, Gariano Brigitte, Galand Huguette, Lacourière Anne-Marie, Leclerc Patrice, , Leygnac Simone, L’Huillier Marie-Claude, LombardMagali  Palamara Enza, Pham Nicole,  Salle Géraldine.

Abancourt Alex, Benasem Abdelhalim, Deruelle Annette, Gatignol Patrick, Salles Pierre-Louis, Sarazin Michel, Staudre Elisabeth, Tenenbaum Clarisse.

La secrétaire de séance : Nicole Pham

Le président de l’association : Gérard Bras

Nombre de présents : 29    Excusés : 7    Président de séance : Gilbert Duhamel

Secrétaire de séance : Nicole Pham

 Documents distribués aux participants :

1)      Compte de résultat, bilan 2011 et budget 2012.

2)      Projet de programmation 2012-2013 .

3)      Statistique des présences  aux cours et conférences  pour la saison 2011/2012.

 4)      Compte-rendu des deuxièmes rencontres d’Histoire Critique à Gennevilliers « Etre d’ici et d’ailleurs » les 25 et 26novembre 2011.

5)      Projet « La puissance du Peuple » dans le cadre de Rencontres de Gennevilliers, les 30 novembre  et 1er décembre 2012.

6)      Liste de lieux de distribution établie par la commission Communication.

7)      Statistique des présences  aux cours et conférences  pour la saison 2011/2012.

Préambule  de Simone Leygnac

  Simone Leygnac tient à remercier tous les participants de l’UP92 pour les marques de réconfort  qu’elle a reçues à la suite de la disparition de Jean Leygnac.

  Au nom de ses amis de l’Université Populaire des Hauts de Seine, une plaque gravée d’une  phrase de Sénèque « Etudie non pour savoir plus mais pour savoir mieux » sera placée sur sa tombe.

Au nom de tous, Gérard Bras  exprime son accord avec ce choix qui correspond si bien à  Jean et rappelle l’efficacité  qui fut la sienne au sein de l’UP 92, sa discrétion et  son goût du savoir.

  1. I.            Présentation du Rapport moral pour l’année 2011-2012  par Gérard Bras, président de l’UP92 
  1. A.   (Texte intégral de Gérard Bras)

« Bilan d’activité :

Cette année s’annonçait, pour des raisons différentes, comme celle d’une baisse programmée d’activité, et d’une réflexion collective sur le devenir de l’association.

Les raisons :

1°) des difficultés financières importantes, dues pour partie à une négligence de notre part, qui a conduit à une baisse de la subvention, pour partie à des charges lourdes ; les subventions ont été rétablies pour 2012, et vont permettre de reprendre un activité plus normale, sans que nous soyons encore totalement à l’aise. Jean-Yves y reviendra dans le rapport financier et le projet de budget.

2°) Un second souffle difficile à trouver, après 8 ans d’activité.

3°) Le départ de l’antenne d’Antony qui a pris son indépendance.

Quelques chiffres pour réfléchir :

135 adhérents contre 188 l’an passé (mais 27 nouveaux adhérents) ; 14 cours (11 à Gennevilliers, 2 à Asnières, 1 à Nanterre) fréquentés en moyenne par 16 étudiants ; un cours prévu a été annulé ; un cours tenu a vu trois de ses cinq séances annulées.

Le chiffre du nombre d’adhérents, est en baisse très nette. Je disais la même chose l’an passé, mais sur la base de chiffres manifestement faux. C’est devenu une réalité cette année.

 8 conférences : 5 à Gennevilliers et 3 à Nanterre, avec une participation très variable : de 158, pour Stora à 8 pour Cotta. Les conférences données à Nanterre ont été un échec complet : maximum 15 personnes. L’activité de l’UP est noyée dans la programmation de l’Agora, ce qui explique que, faute d’activité soutenue par des adhérents, peu de monde semble intéressé. Nous proposons de ne pas renouveler les conférences à Nanterre, et de nous concentrer sur Gennevilliers pour cet aspect de notre activité. D’après mes chiffres, les autres conférences ont été suivies de 80 personnes pour Bouveresse à 2O pour Martelli.

Pour les cours, il ne faut pas en rester à la moyenne globale.

L’examen des chiffres fait apparaître :

1°) qu’ils démarrent presque tous avec un effectif qui va de 15 à 20, à trois exceptions près : Rousseau (35), regard sur le Maghreb  (7) et la musique folk (5) ;

2°) que certains (essentiellement deux) subissent un fléchissement de fréquentation.  C’est aussi le cas d’un troisième, le cours sur la philosophie de l’histoire, mais à raison de la défaillance de l’enseignant.

Troisième type d’activité : les rencontres d’histoire critique, pour lesquelles nous sommes en partenariat avec les « Cahiers d’histoire critique », qui se sont tenues cette année, en novembre, sur le thème « être d’ici et d’ailleurs ».

Deux moments : une soirée au cinéma, avec la projection d’un film de M. Trillat, et une journée d’ateliers (6 ateliers) ; à quoi il faut ajouter une lecture de contes à la bibliothèque et la venue de Lilian Thuram dans une classe de primaire le 29 mai.

Bilan des rencontres, en chiffres :

29 intervenants

111 personnes pour l’ouverture (2 débats et projection du film)

Le samedi,  26 intervenants et 15 à 20 personnes par atelier

 18 enfants à la bibliothèque pour les contes « Sagesses du monde »

La participation de Lilian Thuram aux Rencontres d’HC (Fondation Lilian Thuram contre le racisme) était annoncée dans le programme. Son agent avait refusé une conférence mais avait proposé un travail dans une classe bien préparée aux questions traitées du racisme et des discriminations. En fin de compte, Josiane Amacker a servi de relais avec une institutrice de l’école des Grésillons, adhérente de l’Up, Béatrice Péressini. Les conditions étaient strictes : maintenir l’incognito, pas de journaliste, de politique, deux personnes avaient été informées : L’institutrice et la directrice de l’école.

Il est venu le mardi 29 mai, le matin dans la classe de CM2 dans une classe de 29 élèves qui avaient beaucoup travaillé ces questions. Les élèves n’étaient pas informés  non plus mais le contact a été immédiatement chaleureux. Lilian Thuram est un excellent pédagogue et sait servir de « passeur d’idées ». Ce fut un moment exceptionnel de réflexion et il a proposé de revenir soit pour une conférence soit dans des classes. Ce peut être une première pierre pour le travail que Ginette entreprend d’un UP des enfants.

Sont mis en annexe du rapport et distribués à l’AG, le bilan des cours et conférence et le bilan des rencontres.

Enfin, nous avons repris notre activité de cours à la MAN, grâce à l’implication d’Elisabeth Staudre qui s’est chargée de cette organisation.

Deux intervenants sont allés à la maison d’arrêt :

F. Chobeaux et O. Piriou.

Chobeaux :

Deux interventions, 2 et 16 février, 14h30-16h30.

Aucun problème avec les surveillants. Une heure de fin à notre choix selon les échanges, débordant à chaque fois de l’heure annoncée (16h).

10-12 participants les 2 fois, 2 nouveaux la 2ème fois.

Deux thèmes :

– la première rencontre « La violence est-elle légitime ? »

– la seconde : « le libre arbitre » (décidé collectivement à la fin de la première).

Des participants intéressés, s’engageant dans les réflexions.

Ce type d’action est bien dans les cordes de l’IP92 : ouverture, déségrégation…

A refaire, mais de façon clairement collective, un projet sur un trimestre à 3-4, préparé et suivi ensemble, un thème large qui sera ensuite décliné, traité par chacun dans les séquences. Une après-midi toutes les 2 semaines est l’intervalle le plus grand, peut-être voir pour un rythme à la semaine. Mais c’est une question de nombre, de disponibilités.

Bilan :

Il y a moins de disparités dans la fréquentation des cours que l’an passé. Mais cette fréquentation, ainsi que le nombre de nos adhérents restent insuffisants, en regard des subventions publiques que nous percevons, et qui nous imposent de meilleurs résultats. Pire, malgré un redressement financier, dû à une augmentation des subventions publiques, nous perdons des adhérents. Nos bailleurs seraient en droit de nous demander des comptes.

Quelle est la cause de cette perte ? La forme que nous donnons à notre activité ? Elle convient à ceux qui participent à l’UP, mais peut repousser les autres. Le succès, comme l’an passé, d’une initiative de début d’année ne semble pas influer sur la fréquentation régulière de l’UP. Si l’on regarde la composition de l’UP, il est assez clair que nous ne mordons pas sur le public jeune tout cela doit nous inviter à nous rénover, à rechercher de nouvelles formes, en tout cas à ne pas nous contenter de nos habitudes, et certainement aussi à améliorer notre communication.

Il ne faut pas non plus faire du nombre d’adhérents la seule mesure de notre réussite, puisque la fréquentation des conférences et des rencontres d’histoire n’est pas soumise à l’adhésion. Il en va de même pour les cours donnés à la maison d’arrêt, pourtant importants dans notre bilan. Le succès relatif de ces initiatives est à prendre en compte positivement, sans contrebalancer suffisamment la perte d’adhérents.

Que faire pour rénover notre activité ?

Le CA qui s’est tenu en décembre sur la pédagogie que nous mettons en œuvre, a pensé qu’il fallait maintenir notre originalité qui consiste en l’organisation de cours, parce que c’est le moyen que nous avons imaginé pour proposer un approfondissement de la réflexion. C’est à la fois la raison d’être de notre association et son mode de fonctionnement.

L’UP réunit des citoyens, enseignants et enseignés qui désirent mener ensemble une réflexion critique sur un sujet donné. Nous ne sommes missionnés par personne pour défendre une ligne de pensée idéologique déterminée. Ce qui nous réunit, enseignants comme étudiants, c’est le désir de partager une réflexion ; c’est le même souci de s’exercer à la réflexion critique, et non pas celui de divulguer une vérité. C’est la raison pour laquelle je suis heureux de constater que les enseignants s’investissent plus dans la vie de l’association, en participant au CA, ou aux commissions. C’est aussi ce qui engage un certain éclectisme dans notre programmation, laquelle se fonde d’abord sur le désir des uns et des autres, désir d’enseignant de venir travailler ici, désir d’étudiants de les suivre dans leurs propositions, demandes d’étudiants de voir telle question traitée à la suite d’un cours qui l’aura évoquée. Nous ne sommes pas prestataire de service, cherchant des intervenants pour répondre à une demande, ni militant d’une cause idéologique déterminée. C’est ainsi que la programmation essaie de répondre au double désir des étudiants et des enseignants qui sont membres de l’association. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé, si l’AG le confirme, de revenir au système de rétribution, au moins partielle, de nos intervenants, afin de ne pas restreindre les possibilités, de ne pas nous limiter à ceux d’entre eux qui voudraient venir ici animés par une volonté militante.

Faut-il rénover la forme ? Comment ? La réflexion est ouverte.

Autre aspect pour mieux nous faire connaître : notre communication.

Une commission a travaillé pour y réfléchir et a fait des propositions, reprises par le CA.

La commission a réfléchi, mais les membres de la commission se sont aussi activés, notamment en procédant à des distributions multiples. Je crois que ces distributions ne doivent pas être monopolisées par les membres de la commission : ils ne seront pas jaloux si d’autres y participent, notamment les membres du futur CA. Une liste des lieux où il faut distribuer doit circuler dans l’AG, permettant à chacun de s’inscrire. Il en va de même, d’abord, de notre présence aux journées des associations, début septembre.

L’un de nos adhérents (Michel Sarrazin) a dessiné un nouveau logo qui sera systématiquement présent sur tout notre matériel de com.

Nous allons nous adresser aux enseignants du secteur, aux CE et aux étudiants.

Nous allons mettre en place au moins une action commune avec la bibliothèque municipale, en vue d’une collaboration qui nous fasse mieux connaître des lecteurs qui la fréquentent.

Nous veillons aussi à intervenir dans les média locaux et départementaux (Gen/Mag, TV dans la Tour de la mairie, journal du département etc.)

Nous devons tâcher aussi de faire de la communication ciblée en fonction de tel ou tel cours.

Chaque conférence fera l’objet d’une communication propre.

Ceci fait transition vers la 2e partie de ce rapport moral : celle qui porte sur notre activité pour la prochaine saison.  

Trois chapitres dans la programmation de l’année prochaine : 

1)     Les conférences

7 conférences sont programmées à Gennevilliers ; aucune à Nanterre, pour la raison que j’ai évoquée tout à l’heure : la réitération de l’échec.

Les sujets sont divers, peut-être insuffisamment sur l’actualité, susceptibles, je crois, d’intéresser notre public.

2)     Les cours

Nous augmentons l’ensemble du nombre de cours :

3 ou 4 cours à Nanterre ;

2 cours à Asnières ;

17 cours à Gennevilliers, dont 1 à la SNECMA et un en partenariat avec la bibliothèque municipale.

Une demi-douzaine de nouveaux intervenants qui, pour la plupart, ont souhaité, ou souhaitaient depuis un ou deux ans, intervenir à l’UP.

Soit un ensemble de 22 cours contre 14 l’an passé.

La commission programmation s’est efforcée de travailler dans l’esprit que j’ai évoqué tout à l’heure : réunir les désirs de réflexion et de travail des étudiants et des intervenants de l’association.

Le programme est distribué et mis en annexe au rapport moral.

3)     Les rencontres sur la puissance du peuple. 

L’argumentaire avec la liste des tables rondes est distribué et mis en annexe au rapport.

La commission de préparation s’est réunie depuis janvier, et la première phase, celle des invitations est quasi achevée.

Nous avons constaté la pertinence extrême du thème de ces rencontres, lors de la campagne présidentielle : l’usage, pour le moins polémique, et bien souvent confus, de la notion de peuple, ouvre un champ considérable à la réflexion critique. Il impose aussi, comme nous l’avions décidé, de faire se croiser les réflexions de différentes disciplines, mais aussi d’engager le dialogue entre théorie et pratiques politiques. C’est le sens du choix qui a été fait dès les invités contactés :  se rencontreront historiens, sociologues, philosophes, littéraires et, dans une moindre mesure, des acteurs de la vie politiques.

Dans le cours de la préparation, j’ai été amené à proposer au maire que cette initiative dépasse les limites de l’Université Populaire, ce en raison de l’état de la situation idéologique et politique, que la ville devienne l’organisateur principal de ces rencontres qui prendraient alors une audience plus large et, sans doute rencontreraient un écho régional ou national. Un accord de principe m’a été donné par le maire, pour que ce soient « les rencontres de Gennevilliers », avec pour thème « la puissance du peuple ». La condition qu’il y met, c’est que l’on n’en reste pas à un débat universitaire, que les Gennevillois soient intéressés à la chose, notamment par les personnes invitées à débattre, et par la forme des débats qui doit permettre une bonne participation des citoyens de la ville. Comme c’était dès le départ notre souci, nous sommes vite tombés d’accord sur ce principe.

Il s’agit donc d’un moment important dans notre activité à la rentrée qui doit mobiliser pas mal d’énergie. Nous avons besoin encore de bonnes volontés à la commission de préparation. Appel aux volontaires ! La prochaine réunion est prévue le 21 à 18h30.

Le futur conseil d’administration doit être renforcé, par rapport à ce qu’il est aujourd’hui. Une demi-douzaine de candidats nouveaux se sont faits connaître. Il faut sans doute que chacun des membres du CA s’investisse un peu plus, même si il y a un progrès très net sous ce chapitre, notamment en raison du bon travail des commissions. Je termine donc par un nouvel appel à candidatures : la vie de notre association est faite de l’engagement de chacun. Quelques tâches devront nécessairement être assurées par le nouveau CA, par ceux qui ne sont pas déjà engagés dans une commission. Au moins : la coordination des référents, un adjoint à la programmation pour aider Magali, le travail sur la logistique des rencontres.

La discussion est ouverte. »

  1. B.    Discussion   à partir du rapport d’activités

Propositions pour relancer  la participation à l’UP92

Cours durant  l’après-midi : Les cours qui avaient eu lieu antérieurement dans l’après-midi avaient permis de toucher un public différent et avaient réuni un large auditoire. Le cours prévu « » Quand le conte sert à penser »  pourrait être programmé en après-midi.

  Nous avons été sollicités par l’organisme de la ville de Gennevilliers « Mission handicap », qui souhaite une participation de l’association autour de la célébration des 10 ans de la charte handicap de la commune.

  Une intervention pourrait être assurée par Patrick Gatignol, professeur de philosophie, qui connaît bien la situation des handicapés moteur. Toutefois le projet est encore trop vague du côté de la mairie. Il faudrait notamment s’assurer la participation des associations d’handicapés, nombreuses sur la commune.

   Cette année, pour son  thème  « Existe-t-il des races biologiques dans l’espèce humaine ? » Christiane Silliau a fait diffuser  un petit texte de présentation  avant chacun de ses cours, par internet. Cela a été très apprécié et a plus incité certains à venir qu’une   simple présentation écrite  dans la brochure.   

    Christiane Silliau a fait transmettre le texte complet  de chacune de ses interventions.   Patrick Gatignol  a distribué le plan général du thème qu’il traitait « Philosopher aujourd’hui ? » et le plan de chacun de ces cours.

   Les étudiants ont été très satisfaits de cette démarche qui permet à chacun de retravailler les cours.

  On pourrait peut-être suggérer aux professeurs, s’ils en sont d’accord car c’est un  gros travail supplémentaire, de  donner une trace écrite de leurs cours. 

Pierrette Bras  lance un appel aux volontaires pour participer à cette commission. On a besoin de monde pour rendre l’UP92   visible quand il y a des évènements, pour distribuer des informations  dans les établissements scolaires et pour se faire connaître sur les marchés locaux.

  Marie-Claude L’Huillier rappelle que l’année a été particulièrement lourde en évènements et que les ponts n’ont pas favorisé la fréquentation régulière des cours.

A l’issu de cette discussion, le rapport moral du président Gérard Bras  est adopté à l’unanimité.

  1. II.            Présentation du projet de programmation 2011-2012 par Magali Lombard  (voir propositions jointes)

Ce projet de programmation est adopté à l’unanimité.

  1. III.            Présentation du rapport financier pour l’année 2011 par Jean –Yves Even,   trésorier de l’UP92 (voir documents joints)

2011 est marqué par une forte diminution des recettes (-10000€) due au non dépôt de deux dossiers de demande de subvention. Il a été décidé en conséquence de suspendre la rémunération des enseignants pour l’année scolaire 2011/2012, soit pendant le dernier trimestre 2011 et le premier semestre 2012. Ceci a permis de limiter le déficit d’exploitation 2011, qui s’établit néanmoins à 6000€.

L’association ne dispose plus de fonds propres. Elle a pu obtenir une autorisation provisoire de découvert de la Caisse d’Epargne, au premier trimestre 2012, pour continuer à fonctionner.

En 2012, les dossiers ont été déposés  et les subventions  rétablies. Le budget 2012 prévoit  la reprise partielle de la rémunération des enseignants, à hauteur de 3 cours sur 5, et le retour à une situation de trésorerie moins difficile, mais encore tendue.

D’une manière générale, l’UP92 est très dépendante des subventions. Les recettes sont stabilisées en 2012,  mais nous savons d’ores et déjà que la convention « emploi tremplin » avec la Région, qui joue un rôle important dans les équilibres de gestion de l’association, expire en 2013. Il sera nécessaire de trouver à cela une solution en temps utile.

  1. A.    Remarques sur le compte de résultat 2011

Une distinction a été faite entre adhésions individuelles et cotisations collectives (comptes 7561 et 7562)

Le travail des professeurs bénévoles est chiffré à hauteur des rémunérations que les enseignants auraient touchées s’ils n’avaient pas accepté de faire une année de bénévolat, en dépenses (862) et en recettes (870).

L’assemblée donne quitus au  trésorier  de l’UP92 : Le bilan financier  est donc  accepté à l’unanimité.

  1. B.     Budget 2012 (voir documents joints)

Remarques

Le budget prévisionnel est adopté à l’unanimité.

 Pour améliorer les finances de l’UP92, Ginette nous expose son début de projet de film en collaboration avec la SNECMA. Elle nous en reparlera quand le projet sera plus avancé.

  1. IV.            Election du Conseil d’Administration

Amacker Josiane, Bourdais Serge Bras Gérard, Bras Pierrette, Duhamel Gilbert Even Jean-Yves, Francequin Ginette, Fecil Maud, Gariano Brigitte, Galand Huguette, Lacourière Anne-Marie, Leclerc Patrice, , Leygnac Simone, L’Huillier Marie-Claude, LombardMagali  Palamara Enza, Pham Nicole,  Salle Géraldine.

Abancourt Alex, Benasem Abdelhalim, Deruelle Annette, Gatignol Patrick, Salles Pierre-Louis, Sarazin Michel, Staudre Elisabeth, Tenenbaum Clarisse.

La secrétaire de séance : Nicole Pham

Le président de l’association : Gérard Bras

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